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Nord de l’Alberta, la consommation d’opiacés enregistre le double de décès depuis la pandémie
Un thermomètre posé au milieu de pilules de toutes les couleurs.

La crise de la Covid-19 a accéléré dangereusement un autre genre de crise tristement connue en Alberta, celle des opiacés, notamment à Grande Prairie. 

Le trafic de stupéfiants n’est pas nouveau, mais depuis le début de la COVID-19 c’est une hécatombe. Lindsay Loset, responsable du programme sexually transmitted and blood-borne infection (STBBI), au centre de santé communautaire, le Northreach Society de Grande-Prairie fait le point en chiffres sur la situation. Elle n’est pas la seule, Tyla Savard, membre d’un groupe de travail sur les opiacés et présidente du sous-comité d’éducation et de sensibilisation partage aussi son expertise et son expérience de maman, à ce sujet.

La journaliste IJL Hélène Lequitte s’est entretenue avec des acteurs phares de la ville de Grande Prairie sur les ravages qu’engendre entre autres le fentanyl.